Retard dans la mise en oeuvre de la règlementation des G.P.S
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Le 21 octobre 2011, les préfectures françaises devaient rendre un rapport sur les zones accidentogènes dans leur département. Ces informations devaient être ensuite dirigées vers l’A.F.F.T.A.C. (Association Française des Fournisseurs et utilisateurs de Technologies d’Aide à la Conduite). En effet, les membres de cette association avaient signé le 29 juillet 2011 un protocole d’accord dans lequel ils s’engageaient à intégrer de nouvelles zones de danger potentiel. Cependant le président de Coyotte précise qu’à ce jour, ils n’ont rien reçu. Après la décision du Comité Interministériel de la Sécurité Routière du 11 mai 2011 d’interdire ces systèmes d’aide à la conduite, l’A.F.F.T.A.C. constate que l’on se dirigerait plutôt vers un assouplissement de la mesure et attend sereinement l’après élection présidentielle. De leur côté, les préfectures ont quelques difficultés à définir les zones à risques. La circulaire ministérielle n’est pas très claire. En effet, la définition des « zones de vigilance accrue » est plutôt floue. De plus, leur nombre serait calculé en fonction du nombre de radars implantés dans le département. Le chiffre obtenu serait multiplié par dix. On imagine aisément le nombre d’alertes dans la voiture… ce qui pourrait nuire à ces petits boîtiers. Les bases d’analyse différent d’un département à l’autre. C’est pour toutes ces raisons que les fabricants ont le temps de s’organiser
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